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moyenne
3.07/5

Perhaps Love

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les avis de Cinemasie

8 critiques: 3.47/5

vos avis

24 critiques: 2.86/5

visiteurnote
antigone 4.5
Manolo 4.5
jinroh 4
Izzy 4
Fred30 4
tu0r 4
chronofixer 3.5
Bastian Meiresonne 3.5
Samehada 3.25
eniger 3.25
Melanne 3
Bamboo 3
loïc-ipman 3
Dooliblog 2.5
geez 2.5
cityhunter 2.5
jeff_strike 2
koalaurent 2
Phildu62 2
Pikul 1.75
Tred 1.5
Antaeus 1.5
Black_pantha 1.5
Nicolas D. 1.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

le film démarre plutôt bien, avec une première partie rythmée, mais ensuite ça reste un peu plat à mon gout, et la lassitude s'installe, dûe en partie aux chansons qui sont vraiment fades (Jacky chante très bien mais la musique est franchement oubliable). reste un trio d'acteur béton (ZHOU xun toujours aussi craquante), quelques caméos sympas (Eric TSANG et Sandra NG) et une belle réalisation. pour résumer je l'ai trouvé pas mal mais en dessous de sa notoriété.

22 septembre 2006
par chronofixer


Les voltiges de l'amour

Voilà de l'ambition pour tenter de donner un nouveau souffle à une cinématographie HK dévastée en cette année 2005/2006 ! Peter Chan, excellent réalisateur des meilleures comédies des années '90s par le biais de la mythique société de production U.F.O, tente de ranimer un genre totalement tombé en désuétude depuis les années '50s dans l'archipel : la comédie musicale. Réussissant à former la plus importante co-production pan-asiatique jamais réalisée, il combine - tous postes réunis - des talents de Taiwan, Chine, HK, Thaïlande, Japon, Inde, Corée et j'en passe et j'en oublie les meilleurs ! Le tout sous la supervision d'André Morgan, mythique "découvreur de talents", ayant introduit Bruce Lee aux Etats-Unis. Superproduction à la hauteur de ses ambitions, "Perhaps Love" respire les importants moyens dès la séquence d'ouverture : un homme remonte une rue déserte des années '50s et sera accueilli par une foule dansante en délire. Décors somptueux, costumes superbes, nombre de figurants imposant et une scène musicale très réussie donnent le ton. La suite sera de même acabit jusqu'au dramatique dénouement. Ce qui fait tout le charme de cette production est pourtant l'ambitieux scénario : si la trame reste classique, les scénaristes décident d'expliquer les surprenantes scènes musicales par le tournage d'une comédie musicale, dont le ton et la ligne conductrice rappellent étrangement l'affaire dans la réalité. Et de constituer un passionnant triangle amoureux entre trois personnes (2 hommes pour une seule femme). Dans les trois rôles principaux, Tony Leung, Takeshi Kaneshiro et - surtout - Xun Zhou tous trois convaincants à tous les niveaux. Qu'est-ce qui fait, que je n'ai pas donné de meilleure note ? Tout d'abord, il faut aimer le genre de la comédie musicale; puis les tragiques (et classiques) histoires d'amour (qui finissent mal, en général). Ensuite la superbe et la grandiloquence de l'ensemble : tout paraît presque trop énorme, trop propre et parfait; peu de place n'est laissé au hasard et parfois, le film ressemble trop à une belle démonstration sur papier glacé plutôt qu'au drame intimiste voulu. Enfin, les belles séquences musicales...ne sont pas parfaites. Les chansons moyennes et les chorégraphies sans grande inventivité, ressemblant davantage à un long numéro de cabaret. Courageuse initiative, Peter Chan a voulu trop bien faire en en perdant l'âme première d'une bonne comédie musicale : la joie et le naturel pour accepter le principe du genre même. Espérons, que ce soit à venir dans d'autres productions de même type !

03 février 2006
par Bastian Meiresonne


Si, sur le papier, la dream team réunie autour de Peter Chan sur ce projet qu'on pourrait qualifier de second effet Crazy Kung Fu (*) avait de quoi faire rêver, le résultat sur pellicule est quant à lui fort décevant. La faute à un récit co-écrit par Aubrey Lam (auteur du très neuneu "Hidden Track", rappelons nous), à une Farah Khan visiblement hors du coup lorsqu'elle n'officie pas pour du Bollywood, et à un Peter Chan rééditant les limites de son déjà très nian-nian "Comrades...". Reste un casting s'en sortant honorablement avec la toujours sympathique Zhou Xun, ainsi qu'une photo soignée. Mais on est définitivement loin de la flamboyance potentielle que pouvait acquérir "Perhaps Love" s'il eut été dirigé par un cinéaste plus talentueux, sachant quoi faire de son équipe. * On l'a vu cette année avec "Fearless" de Ronny Yu, le filmage assisté par ordinateur (premier effet) surexploité dans le dernier film à ce jour de Stephen Chow fait des émules. Et l'autre "conséquence" de "Crazy Kung Fu" pourrait bien être l'idée de se lancer dans la comédie musicale, puisqu'il incluait un passage du genre.

25 mars 2006
par Antaeus


Perhaps not

Trois problèmes majeurs dans Perhaps Love : 1. La perruque de Takeshi Kaneshiro. 2. La direction artistique à la Moulin Rouge. 3. Les quinze fins successives à la Retour du Roi. Sinon, chouette titre.

09 juillet 2006
par Nicolas D.


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